Témoignage au quotidien de la vie de prêtre et de séminariste au milieu des soldats, présents, l’un comme infirmier, l’autre comme aumônier.
Il s’agit de notes rédigées pendant le conflit, puis mises en forme après‐guerre. Restés entre les mains de la famille, Hubert de Vauplane a découvert ces manuscrits il y a peu de temps et les a retranscrits et en a expliqué les termes les plus techniques.
Ces lignes sont un témoignage au quotidien de la vie de prêtre et de séminariste au milieu des soldats, présents, l’un comme infirmier, l’autre comme aumônier.
L’ainé des cousins termina sa formation de théologien après‐guerre, puis pris la direction de l’établissement scolaire jésuite parisien Saint Louis de Gonzague ( » Franklin « ), puis de celui de Sainte Geneviève ( » Ginette « ) à Versailles. Le cadet ne survécut que peu d’années à la guerre, trop affaibli par les maladies contractées en Orient.