Bible

Babylone la Grande, Grande prostituée

La plus emblématique de la perversité, la femme la plus intrigante de la Bible, car même si c’est une allégorie, elle fait remonter la conscience jusqu’à Babel et la tour de Nimrod qui défiait Dieu en voulant accéder au ciel, ceci aux origines de l’humanité, ou à Lilith, démone de la mythologie babylonienne (l’Histoire de l’Empire babylonien est brièvement relatée dans les livres des derniers prophètes) pour venir se pavaner dans le tout dernier livre de la Bible : l’Apocalypse.

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Esther, la prolétaire juive devenue reine de Perse

Les ingrédients du conte de fées y sont tous : une juive déportée, tellement belle qu’elle est choisie (sans qu’elle ne révèle ses origines juives) par le grand roi de Perse pour remplacer la traîtresse Vasthi, luttant contre son ennemi mortel Haman, le Premier ministre manipulateur du roi qui veut l’extermination des juifs. Malgré la répudiation de Vasthi pour un acte similaire (alors que le roi a durci encore le rapport de soumission que doivent les femmes aux hommes et particulièrement au roi qui se conduit comme un dieu vivant), Esther va braver la toute-puissance du maître et de ses ministres pour tenter de sauver son peuple en avouant qu’elle est juive…

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Marie, Marie, Marie… Madeleine ?

Marie Madeleine, ou Marie de Magdala (une ville de Galilée) appelée aussi Marie la Magdaléenne, est une femme qui inspire de nombreux artistes et surtout ceux qui n’ont guère lu la Bible.
En effet, on en a fait tantôt une « pécheresse », tantôt la sœur de Marthe et de Lazare (Marie de Béthanie), ou encore une possédée de sept démons que libéra Jésus dans sa ville de Magdala.

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Balkis, la reine de Saba

La plus célèbre femme de la Bible hébraïque ne porte aucun prénom dans la relation biblique. C’est un comble ! Le Coran le corrigera un millénaire après la compilation biblique d’Esdras, lui collant le prénom de Balkis et en faisant une métaphore dans une allégorie poétique sur les fourmis.
D’où vient cette femme étrange qui régnait sur les hommes en ces temps révolus où les femmes étaient plutôt soumises ?

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Deux mères, deux femmes : deux frères, deux peuples.

Rester stérile rendait Sara malheureuse. Une malédiction… Alors qu’Abraham avait reçu la promesse divine d’être le père d’une « multitude ».
Comme c’était convenu par les mœurs et les lois du temps, Sara présenta à Abraham sa servante Agar, une Égyptienne, pour qu’il couche avec elle et qu’elle engendre un enfant à sa place. Agar étant l’esclave de Sara, cette dernière serait la mère de l’enfant à naître. Seul le ventre d’Agar serait sollicité.

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