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La comtesse de Ségur complètement mutique

Est-ce dû au comportement de son mari Eugène, tellement occupé à courir les jupons qu’il ne prend même pas la peine de venir rendre visite à sa femme et à leurs huit enfants ? Ou bien lui aurait-il transmis l’une de ces maladies vénériennes contractées lors de ses nuits chez des femmes de mauvaise vie ? Toujours est-il que la pauvre comtesse souffre de fréquentes crises de nerfs, aux conséquences dévastatrices. Dans ces phases de plus en plus longues et douloureuses, cette femme pourtant brillante et vive souffre d’un mutisme complet, ne pouvant plus prononcer un seul mot. Une situation qui l’oblige à communiquer avec son entourage à l’aide d’un morceau de craie et d’une ardoise où elle écrit ce qu’elle ne peut pas dire.

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Le premier vampire était une femme !

Dracula vole la vedette à Carmilla. En 1897, Bram Stocker créa un héros (ou antihéros ?) dont le succès ne devait jamais se départir, et ce jusqu’à nos jours : le comte Dracula, vampire par excellence. L’écrivain a trouvé son inspiration fantastique dans la vie d’un personnage historique bien réel : Vlad III Basarab (mort en 1476), un voïvode

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Des préparations à base de plomb, un impôt sur la barbe et les secrets de beauté de Marie-Antoinette

Si les cosmétiques étaient très prisés en France et en Asie, dans d’autres cours européennes, ils étaient bannis.Voici quelques exemples des tendances cosmétiques d’alors au Japon, en Angleterre, en Russie et en France.​ Au Japon L’ère Edo, qui s’étend du XVIIe au XIXe siècle, correspond à une époque d’urbanisation croissante du Japon durant laquelle une

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Marie, Marie, Marie… Madeleine ?

Marie Madeleine, ou Marie de Magdala (une ville de Galilée) appelée aussi Marie la Magdaléenne, est une femme qui inspire de nombreux artistes et surtout ceux qui n’ont guère lu la Bible.
En effet, on en a fait tantôt une « pécheresse », tantôt la sœur de Marthe et de Lazare (Marie de Béthanie), ou encore une possédée de sept démons que libéra Jésus dans sa ville de Magdala.

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Deux mères, deux femmes : deux frères, deux peuples.

Rester stérile rendait Sara malheureuse. Une malédiction… Alors qu’Abraham avait reçu la promesse divine d’être le père d’une « multitude ».
Comme c’était convenu par les mœurs et les lois du temps, Sara présenta à Abraham sa servante Agar, une Égyptienne, pour qu’il couche avec elle et qu’elle engendre un enfant à sa place. Agar étant l’esclave de Sara, cette dernière serait la mère de l’enfant à naître. Seul le ventre d’Agar serait sollicité.

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